Justice nulle part
La violence policière prospère là où sa dénégation prolifère
Le pouvoir policier tient autant du flashball qu’à toutes les connivences ordinaires qui l’entretient : toutes celles et ceux qui regardent le policier comme un « agent » indispensable au maintien de l’ordre public, comme un « collègue » du même corps, un « auxiliaire » de justice.
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Gilets jaunes : un an de répression judiciaire
Temps de lecture : < 1 minuteNotre enquête révèle une justice brutale, partiale, et pour tout dire politique, suivant servilement les directives gouvernementales. Macron préside-t-il le tribunal correctionnel de Lyon ?